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24 février 2011, par Journal de la Corse
La justice semble une affaire trop sérieuse pour être parfois laissée aux magistrats. C’est tout au moins la morale de ce procès ajaccien mettant en scène un procureur acharné, deux enseignants éperdus, une cour attentive, un recteur solidaire et une brochette d’avocats digne d’un procès d’assises. Ce procès qui laisse l’observateur partagé entre le rire, la pitié et la colère, pose tout de même une question essentielle : à quoi sert la justice ?
Une affaire de l’enquête essentielle
Il ne s’agissait pas (...)