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21 janvier 2011, par Journal de la Corse
La biographie revient en force. Le public lui réserve, à nouveau, ses faveurs. Les historiens anglais ne l’avaient jamais abandonnée. L’école historique française s’est intéressée, de façon prépondérante, pendant une longue période, au non-événementiel (histoire des mentalités, histoire de la folie etc...) Désormais l’individu retrouve sa place. La chronologie aussi. L’histoire est un roman vrai. Cette idée réapparaît. On peut s’en féliciter, à la lecture du livre de Jérôme Picon, consacré à la princesse (...)