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6 janvier 2011, par Journal de la Corse
Ce 4e roman est indéniablement dans la catégorie des œuvres littéraires fortes et engagées. La gravité du sujet – la torture – n’ôte rien au style très séduisant de l’écriture de Jérôme Ferrari, qui interpelle sans jamais alourdir ou culpabiliser. L’interrogation est subtile, le roman fort, exigeant.
Monologue intérieur
Jérôme Ferrari plonge le lecteur dans une réflexion sur la torture sous la forme d’un long monologue intérieur, celui du lieutenant Andreani, qu’il adresse à son supérieur, le capitaine André (...)