En réponse à :
9 décembre 2010, par Journal de la Corse
Comme beaucoup d’entre vous, je m’inquiète de l’avenir. José Manuel Barroso aussi ! Ce qui est autrement plus angoissant. De quoi peut-on bien rêver aujourd’hui alors que l’ascenseur social est en panne et que l’état de la société corse, de la France, de l’Union Européenne et du monde interdisent d’espérer des jours favorables. Chez nous, les efforts pour s’instruire et construire sa vie par le travail sont bafoués par les pouvoirs du clientélisme, du réseau, de l’affairisme et de la voyoucratie. Sans se (...)