En réponse à :
9 décembre 2010, par Journal de la Corse
Quand le grand brouhaha médiatique tourne systématiquement à l’auto congratulation, au consensus mental, quand l’esprit critique devient délit et incongruité, quand la société est sommée d’être un vaste public approbateur, place doit être faite au rire salvateur et lucide. L’humoriste devient le grand critique, le seul habilité à oser soulever le masque pour cerner les difformités et montrer le vrai d’un impitoyable regard. C’est cette mission d’utilité publique que Battì revendique dans le titre de son (...)