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27 décembre 2012, par Journal de la Corse
En Syrie ce n’est le printemps, même arabe, pour personne et cela vaut particulièrement pour les Chrétiens.
J’aurais certes voulu, en ces jours précédant Noël, traiter de sujets réjouissants. D’autant que la crise économique ambiante suggérait de relever des événements incitant à l’espoir ou à l’optimisme. Désolée, cela n’est pas possible. Le triste constat que la Syrie est devenue un champ de mort et de ruines, me conduit à ne pas achever 2012 dans la joie et la bonne humeur. Je me sens le devoir d’apporter (...)