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26 juillet 2012, par Journal de la Corse
Contrairement à ce que chantait Brassens, être fiers d’être nés quelque part ne serait plus forcément le fait « d’imbéciles heureux ».
Quand nous avons commencé à exprimer nos sentiments identitaires, beaucoup d’entre eux ont bien rigolé, nous qualifiant volontiers d’ethnocentristes. Quand nous avons exprimé le souhait de faire revivre nos villages et de valoriser les vieilles pierres, nos traditions et nos savoir faire, les mêmes se sont esclaffés, nous percevant comme des passéistes. Quand nous avons (...)