En réponse à :
21 juin 2012, par Journal de la Corse
Qu’est-ce que l’acte de peindre pour vous ?
C’est ne pas subir. C’est se servir du réel pour réinventer, car le réel seul est trop lourd.
Peindre ne se limite en aucun cas à faire du beau ? A une gestuelle ?
Peindre c’est compter les secondes qui nous séparent de la fin. C’est une option morale, une façon de rester debout malgré l’histoire – la grande – et celle vécue par un individu. C’est encore, et peut-être surtout, une recherche sur les mémoires qui nous constituent …
Comment travaillez-vous ?
Je (...)