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7 juin 2012, par Journal de la Corse
Tohu-bohu à la SNCF. TGV Paris-Marseille dans la nuit. Arrêt par rupture de caténaire. Des milliers de voyageurs sur le ballast. Quatre heures de retard. Attente et désespoir des retrouvailles ajournées, des petits déjeuners loupés. La grande pagaille nocturne. Week-end noir. Excuses des responsables. Mise à disposition de taxis et remboursement des billets. Grosse caisse médiatique. Quelle histoire, Bonne Mère, quelle histoire !
Sauvez nos pauvres touristes parisiens blessés par cette interruption (...)