En réponse à :
7 juin 2012, par Journal de la Corse
Je ne souhaite pas qu’après le temps des « hussards noirs de la République », vienne celui des « chevau-légers de la corsitude ».
J’aime la langue corse. Mes parents me l’ont transmise, je la comprends, je la parle souvent et je la lis quelquefois. Il m’arrive aussi, par respect pour elle, de me boucher les oreilles quand j’entends massacrer sa syntaxe et son esprit, par de nouveaux adeptes qui croient que la maîtrise d’une langue se limite à l’acquisition du vocabulaire et de la grammaire. En outre, (...)