En réponse à :
3 mai 2012, par Journal de la Corse
Depuis la mort de l’Empereur, à Sainte Hélène, le 5 mai 1821, sa mémoire est passée par phases alternées entre les périodes de reconnaissance publique et celles d’effacement et d’oubli. Dans ce dernier cas, le souvenir se cantonnait à quelques cérémonies privées. Nous sortons actuellement du tunnel de la période récente d’absence et de silence relatives à Napoléon. Aujourd’hui, l’Empereur revient. On aurait pu dire, avec le poète : « Dors, nous t’irons chercher ». Exception confirmant la règle, les livres de (...)