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19 avril 2012, par Journal de la Corse
En Angleterre, l’annonce de la hausse des frais de scolarité a provoqué des émeutes. Si en France ce débat semble moins violent, il n’en demeure pas moins houleux. En effet, le plan d’austérité n’épargnera pas l’enseignement supérieur. D’où le questionnement sur son financement. En matière d’éducation, il n’y a pas que les écoles primaires et secondaires qui sont sur la sellette, comme l’atteste l’Agence d’Évaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (AERES) qui rend ses rapports, implacablement. (...)