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1er mars 2012, par Journal de la Corse
L’édito d’Aimé Pietri
Un certain nombre d’attentats à l’explosif ou d’assassinats mettent en lumière la haine distillée par certaines factions envers les élus de tout bord. (1) On se souvient encore de cette chanson que « Canta u populu corsu » faisait applaudir, dans les années 70 du XXe siècle et où il était question de ne pas aller voter « per sti purcellacci tecchji » que l’on se promettait d’égorger. Depuis, les philippiques ont perdu de leur agressivité mais la haine demeure. Et il arrive que les élus (...)