En réponse à :
23 février 2012 19:24, par Gabriel
On s’aperçoit, avec ce qu’il arrive à Guy Orsoni, l’insupportable dérive de la justice revue et corrigée par une vision paranoïaque de la sécurité, voire fascisante dans sa conception délirante et totalement inapplicable de tolérance zéro. L’exercice de la justice est conçue pour être gérée par des juridictions d’exceptions. Cela a commencé avec l’antiterrorisme depuis le 11 septembre 2001, avec la SDAT, et depuis 2004 les JIRS pour le grand banditisme. Lois d’exceptions aussi pour les malades mentaux. On se demande qui sont les agités du bocal quand le législateur criminalise la maladie mentale et préfère, (...)