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8 décembre 2011, par Journal de la Corse
Le poids du déficit d’exploitation est tel que le train corse est davantage confronté au risque de disparaître que lancé vers le renouveau.
Hier, tout le monde, ou presque, aimait le « trinighellu ». S’il a été sauvé au début, au début des années 1960, c’est grâce à une formidable mobilisation populaire. Les élus et le lobby des transporteurs routiers qui, durant les années 1950, avaient empêché la remise en état de la ligne de chemin de fer de la plaine orientale, ont dû reculer. Leur volonté d’obtenir la (...)