En réponse à :
16 décembre 2011 06:39, par corse056
Ma réponse : le débat. Ca me paraît être un passage obligé au moins dans un premier temps.
Serions-nous donc si peu nombreux à percevoir cette réalité ? Je veux croire que non. Je pense que les solutions ne peuvent pas être institutionnelles en premier lieu ; parce que dans ce cadre elles seraient le fait essentiellement des hommes qui font de la politique : on les voit aujourd’hui s’agiter passivement et s’engluer dans des non décisions en restant, comme c’est souvent le cas sur des problèmes de fond, en retrait de la population. C’est à nous de dire et de faire savoir aux institutionnels ce que nous (...)