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27 octobre 2011, par Journal de la Corse
L’édito d’Aimé Pietri
Ce n’est pas d’hier que la Corse vit dangereusement. Son histoire est pleine de sang et de douleur. Elle a vécu tant de guerres, de luttes intestines, de dissensions dramatiques et de vengeances récurrentes. Elle a été, tant de fois, traînée devant de sinistres inquisiteurs, écartelée, ravagée, détruite. Mais la violence persiste malgré les appels à la paix qui fusent de tous bords. Tantôt elle prend une coloration politique, tantôt un caractère de droit commun. On ne compte plus les (...)