En réponse à :
13 octobre 2011, par Journal de la Corse
Et dire qu’après l’assassinat du préfet Erignac le rapport Glavany avait osé parler de la porosité corse en matière de police. Que dire aujourd’hui où les affaires de ripoux se succèdent en guirlandes et des scandales qui frappent le plus haut sommet de l’état ?
Une porosité contagieuse
Il ne faut pas attendre des politiques nationaux beaucoup d’inventivité en matière d’enquêtes. Mais le rapport Glavany dépassa, après l’assassinat du préfet Erignac les sommets de plagiat et de bêtises. Plagiat car ce (...)