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15 septembre 2011, par Journal de la Corse
C’est l’une des antiennes du nationalisme modéré : il faut rompre avec le clanisme et le clientélisme. Cela fait maintenant quarante ans c’est-à-dire au-delà de l’espace d’une génération que les mêmes slogans sont lancées de manière incantatoire sans que l’on sache vraiment si leurs auteurs y croient réellement eux aussi. Car un fantôme hante l’esprit de tout Corse : celui du piston, de l’aide abusive condamnable quand elle s’applique aux autres, espérée et vénérée quand ce sont les siens qui en bénéficient. (...)