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30 juin 2011, par Journal de la Corse
Au début des années 1980, au plan judiciaire, on aurait pu penser que la France en avait terminé avec les exceptions au droit commun et la culture de la suspicion. Cela n’a pas duré…
Je ne sais pas si Yvan Colonna était présent ou non du côté de Pietrosella ou dans une rue d’Ajaccio. Après une décennie de médiatisation et trois procès, je suis incapable de me forger une opinion. N’étant sûre de rien, mon inclination intellectuelle et mon sens commun me conduisent à laisser le doute profiter à l’accusé. De (...)