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23 juin 2011, par Journal de la Corse
Cunsigliu n’est pas un roman historique, c’est un récit où des destins se croisent, qui commence et finit au chevet d’un chef de clan, Joseph Tarco, di le Sgiò, détenteur et protecteur d’un secret. La morale n’est pas très optimiste, et ainsi que l’auteur le dit, il a cherché à monter « qu’en chacun de nous réside la « banalité du mal » et qu’elle peut s’exprimer à tout instant si les conditions l’imposent. »
Secret du lazaret Padulacci
Le livre s’ouvre sur la mort de Sgiò Ghjasè, qui fait de Joseph Tarco le (...)