En réponse à :
2 juin 2011, par Journal de la Corse
Affaire Diallo contre Strauss-Kahn. L’une a le droit au respect, l’autre à la présomption d’innocence. Nous ne nous en mêlerons donc pas pour ne nuire à personne. En effet, nous donnerions à l’une des deux parties ce que nous enlèverions à l’autre. Qui ne voit que dès que l’on outrepasse la neutralité du silence on tombe dans une réfutation indirecte.
Si A est innocent, B est coupable et vice-versa. Par contre il ne nous est pas défendu d’analyser la situation politique du parti socialiste. Les sondages (...)