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26 mai 2011, par Journal de la Corse
En ce temps où la parole n’est plus création authentique mais écho du verbe à la mode, il est bon de faire souffler le vent de la vérité. C’est ce que fait Jean-Pierre Poli qui prend pour devise dans « Autonomistes corses et irrédentisme fasciste » la phrase de Maurice Blanchot : « Il faut tout dire. La première des libertés est la liberté de tout dire ». Il s’attaque ici à un sujet qu’on évince prudemment de la mémoire collective. Rien de tel ici, on prend le temps d’une analyse patiente et méticuleuse pour (...)