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12 mai 2011, par Journal de la Corse
Ces morts qu’on n’oubliera jamais.
Si certains dans les hautes sphères du football français ont déjà oublié le 5 mai 1992, la Corse est elle toujours et à jamais endeuillée.
5 mai 1992 : 20h20. Le stade Armand Cesari et sa « nouvelle et temporaire » tribune Nord est plein comme un œuf. Le stade est bleu et blanc, les drapeaux s’agitent, les chants et les encouragements pour le Sporting couvrent la voix du speaker à qui on a demandé de reformuler les conseils de prudence. « J’étais tout en haut, dans (...)