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7 avril 2011, par Journal de la Corse
« Entendre rire les gens déclenche une sensation particulière. C’est tellement fort que ça m’émeut. Deux minutes d’applaudissements récompensent de mois de travail. C’est indescriptible. Jouissif. »
Didier Ferrari
Enfance, métier de coiffeur, montée à Paris, vous évoquez tout cela dans « Le grand saut ». Votre premier one man show ne pouvait être qu’autobiographique ?
Sans verser dans la psychologie de comptoir mon autobiographie est la matière émouvante que je connais le mieux ! C’était le meilleur (...)