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22 mars 2011, par Journal de la Corse
Cela faisait un moment que cela couvait. Le présent s’applique encore dans certains pays. Le ras-le-bol a fini par faire l’effet d’une cocote minute dont on a enlevé le couvercle trop tôt. Après l’autoritarisme, le chaos. « L’émeute est le miroir de l’État contemporain » ainsi que le disent les anthropologues. En novembre dernier, les jeunes étaient déjà dans la rue. Ils en ont marre d’être la variable d’ajustement des politiques. On les comprendrait à moins. Quels droits pour les jeunes qui ne semblent avoir (...)