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17 mars 2011, par Journal de la Corse
CETTE CHARITÉ QU’ON EXIGE
Les Corses seraient-ils devenus de sacrés quémandeurs ? Ils n’auront, jamais, en tout cas, autant quémandé, pardon, exigé, que ces derniers temps. Pour pallier les effets désastreux de la sècheresse et des inondations, de l’agriculture en détresse, du tourisme malade de l’arrière-saison, de l’énergie en état de manque et de la misère endémique. Parallèlement, ils continuent à mettre en surbrillance les crédits défaillants pour la pratique de la langue corse ainsi que l’insuffisance (...)