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1er mars 2011, par Journal de la Corse
La récente mésaventure du nouvel ambassadeur en Tunisie qui a traité les journalistes locaux comme de vulgaires chaouchs avant de devoir s’excuser publiquement, démontre que la vieille arrogance française, n’est pas morte.
Un ambassadeur pied-rouge
Le nouvel ambassadeur en Tunisie, Boris Boillon, a péché par arrogance. Sa lamentable prestation journalistique, a montré une fois de plus que la vieille arrogance française, n’est pas morte. Pourtant cet homme jeune est issu d’un milieu (...)