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24 janvier 2013, par Journal de la Corse
L’Edito d’Aimé Pietri
Il n’y a pas que les nostalgiques du « ucone », ceux pour qui la Corse doit rester éternellement figée dans le souvenir qu’ils en ont. Il n’y a pas que les jusqu’au boutistes de la spécificité pour qui cette île ne doit ressembler à aucune autre et faire la différence sur tout et n’importe quoi. Il n’y a pas que les fanatiques de la commémoration qui, pour des raisons spécifiquement politiques referaient Ponte Novu trois cent soixante cinq fois par an. Il y a les autres plus nombreux, (...)