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20 décembre 2012, par Journal de la Corse
Dans l’immédiat, le gouvernement et l’Elysée resté silencieux ne favoriseront pas une évolution réformiste.
Une trentaine de résidences secondaires ont été endommagées ou détruites durant la nuit du 7 au 8 décembre. A l’heure où nous écrivons ces lignes, aucune revendication n’est intervenue. Mais un « bombage » relevé sur une des constructions visées, suggère la main du FLNC-UC (FLNC-Union des Combattants). Cette « nuit bleue » ressemblait d’ailleurs beaucoup à celle de mai dernier, de moindre envergure (...)