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15 novembre 2012, par Journal de la Corse
L’Assemblée de Corse, aux heures des sessions, ressemble à un théâtre dont les acteurs jouent une pièce presque achevée et dont le dernier acte pourrait bien avoir pour titre « La chute ».
Tout comme l’était devenue Rome avant qu’elle soit prise par les Wisigoths en 410, notre île est une société reposant sur le clientélisme et l’individualisme qui, méprisant les lois et les hommes, est vouée au déclin et à la disparition mais n’en a pas conscience. Le Sermon sur la chute de Rome qui a valu le prix Goncourt (...)