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9 février 2012, par Journal de la Corse
Nos rêves revus à la baisse
Depuis plus de trente ans, les ruines de la cave Depeille me rappelaient un élan du cœur et de l’esprit ainsi que les belles années de lutte et d’espoir qui ont suivi.
Je n’étais pas dans la cave Depeille. Je n’ai donc pas à juger de la pertinence de l’accord de le détruire donné par Edmond Simeoni et les nationalistes. Par ailleurs, je n’oublie pas que ce site a aussi été celui de la mort de deux gendarmes qui ont injustement payé très cher l’autisme politique d’un ministre de (...)