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7 juillet 2011, par Journal de la Corse
PAS POUR DEMAIN L’ADIEU AUX BOMBES
Faisant fi de grands principes et de grands sentiments, de riches promesses et de fines stratégies, la violence persiste et signe. Devenue désormais monotone à force de répétition, elle s’incruste dans la société corse comme une verrue que l’on ne prendrait même plus la peine d’éradiquer, la considérant presque comme un mal nécessaire. Quelquefois, cependant, une action clandestine, plus forte que les autres mais infiniment moins justifiée, trouble la conscience (...)