vendredi 20 avril 2012
Corsica Libera avait organisé le 18 avril un rassemblement devant la gendarmerie d’Aspretto, où cinq de ses militants, dont un membre du nouvel exécutif du mouvement étaient en garde à vue, après avoir été interpellés dans la matinée. Ces derniers, issus de la même famille, seraient inquiétés dans une affaire de cercle de jeu. Pour Corsica Libera, il s’agit « une fois de plus de manipulations politico-judiciaires », visant à empêcher tout travail politique des militants. Une « répression », pour le mouvement, qui intervient comme la réponse à l’appel formulé à l’ensemble des nationalistes, pour sortir la Corse « de la crise mortifère actuelle », en dénonçant une nouvelle fois la responsabilité de l’Etat en la matière